Chercher la bonheur

Chercher le bonheur ! Et bien, c’est une question essentielle pour la vie mais surtout quand nous sommes plus jeunes. Pour certains, l’épanouissement de la vie personnelle est une expression concrète du bonheur. Ce bienêtre consiste à l’obtention d’un statut social, une carrière professionnelle ou des biens matériels. Tout cela montrerait que l’effort déployé avait un sens et pourtant la réalisation pleine de la personne.

On peut grossir la liste des situations qui nous aident à devenir des hommes et des femmes épanouis, selon le profil de chacun : les buts sportifs attirent beaucoup les jeunes, surtout quand nous voyons comme les footballeurs deviennent millionnaires. D’autres préfèrent garder une bonne santé et un corps bien conservé, avoir beaucoup d’expériences intimes avec les garçons ou les filles ou s’occuper aux loisirs (bands de musique, différents sports, les groupes d’amis, les fêtes, etc).

Mais une manière de répondre à la question du bonheur devient quand nous commençons à prendre des décisions par nous-mêmes. Et quand je dis par nous-mêmes, je veux dire sans la pression des amis ou de la famille.

Dans le silence, si cela est possible, sans le bruit des portables ou n’importe quelle technologie, nous pouvons rentrer dans une démarche intérieure. A ce moment-là, les questions de la vie nous tombent comme la pluie en hiver. Qui suis-je ? Qu’est-ce que je veux devenir ? Quels sont mes talents ? Quels sont mes intérêts ? Pourrai-je réussir dans la vie ?

Après une partie du collège où j’ai eu beaucoup de doutes par rapports à mes capacités, j’ai trouvé une voie pour m’en sortir. L’accompagnement des professeurs (quelques-uns, pas tous) m’ont donné de la confiance pour découvrir mes qualités.

A la fin de ma formation au Lycée j’avais réussi dans la vie académique, dans le sport et j’été considéré un leader positif. Le bonheur était juste devant mes yeux. Je me suis rapproché de mon professeur principal pour lui parler de comme consacrer ma vie à Dieu. Je ne savais pas ce que disais, mais le bonheur répondait à une certaine façon d’exister. Je pensais qu’il fallait se donner tout entier à une cause !

C’est de cette manière-là que j’ai commencé à répondre à la question du bonheur et je me suis trouvé devant Dieu. Mais, c’était seulement le commencement.